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Le terme « manga » est composé de 2 idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui signifie, selon le contexte, l'imprécision ou l'originalité, et « ga » qui désigne l'image graphique. On pourrait de ce fait préparer « manga » par « croquis au partie simple » ou épure à la discrétion de la mensonge ». On rencontre aussi la transcription par « images délicats », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le 1er à avoir utilisé ce terme pour déterminer ses catalogues de dessin et de ébauche. aujourd'hui, au japon, le terme est employé pour déterminer les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.Cependant, avant de se pencher sur l’histoire de la ligne fanzine, il est presque obligatoire d’en désigner les courbes. En Occident, grâce aux travaux de Will Eisner ( en grande partie repris dans La bande dessinée, art successif ) qui ont été approfondis par Scott McCloud dans L’art invisible ainsi qu’à ceux de Thierry Groensteen ( dans Système de la bande fanzine ), on doit essayer de la simplifier ainsi : «Art» séquentiel à prédominance graphique qui consiste à dire un conte par le biais de peintures liés entre eux par divers outils narratifs avec le renfort récurrent d’un texte et article sur un support article ou même.Ainsi, on écarte du champ de ce texte des œuvres, certes majeures, vu que les peintures rupestres, la cloison de Bayeux, les rouleaux d’Hokusai ou les gravures de William Hogarth, sans par conséquent négliger leur outcome, au moins indirecte, sur la bande dessinée. Il en est de même pour les sapine, les sculpture satiriques et de presse qui sont souvent confondus avec de la ligne bédé. Le but n’est pas ici d'aprehender en détail de quelle sorte celle-ci est née mais d'insérer quelques jalons historiques afin d’en avoir une meilleure grâce.Ensuite allons aux Shojo ! Les mangas pour femmes ! En général, il s’agit de épître, souvent dans le milieu écolier ( collège ou lycée ). Le comédien est le plus souvent une jeune femme, le sens des petites figurines sont souvent le point médian de la causalité et leur mise en scène est tout principalement soignée. La proportion comme le style y sont le plus souvent plus travaillés, plus illustratifs et plus queue. Parmi les noms notoires dans ce genre nous pouvons citer : Nana, Vampire Knight, Fruits Basket ou Gokinjo. Mais parfois ces remue-ménage se teintent de magique ! C’est la certaine catégorie des Magical girl, des filles équipées de effets fantastiques ! La Magical lady est un peu le au cours de féminin des surhomme. Obligée de conglomérer son existence journalière, ses études ( école fondamental, collège ou lycée ) et son existence de visionnaire / défenseur de l'univers, il lui arrive bien souvent des problèmes quand l’amour commence à s’en fondre. Souvent accompagnée d’autres personnages dotés de pouvoir, la Magical girl se classe dans un registre un peu plus typé action, même si le sens des petits personnages sont perpétuellement bénéficiant d'un traitement avec un soin attentif, l’aspect « vie quotidienne ».Ce shônen d’aventure en un intensité est graphiquement inspiré des dessins animés de Walt Disney, dont le mangaka est un transporté thuriféraire. C’est sur ces bases que se réalise ce genre, qui demeurera ferme ou plus, cahotant le scénario et le cadre en s’inspirant du 7e art. Ainsi les plans cinématographiques vont être introduits et devenir des pièces indissociables du manga : les volumineux plans, les contre-plongées, les plans américains… Ces techniques du restaurant vont permettre de varier les angles, les listel et ceci dans le but de dynamiser la enchaînement.Le courageux du manga shōnen a traditionnellement un challenger qui est sont inverse, on peut le baptiser d’anti-héros. Celui-ci a un conduite antithétique au courageux et lors de tout le manga il y’aura rivalité, une compétition entre ces 2 personnages. Il est content de préciser que les fans seront aussi en rivalité car certains préférons le brave, quand d’autre préférons le anti-héros. Le terme « shojo » en asiatique signifie jeune femme ( eh en effet cela est l’inverse du shōnen ). Le shojo va par conséquent s’adresser aux adolescentes japonaises. Les récits abordent des thème multiples comme par exemple l'écoute musicale, la gymnastique, l’école, la prédispositions avec des désagrégation d’amour encore plus complexe que les séries romantiques.

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