Mes conseils pour enfants hyperactifs
- paul01861
- Feb 7, 2021
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Complément d'information à propos de enfants hyperactifs
Un enfant hyperactif est un enfant dont l’activité motrice est décuplée et désordonnée, accompagnée d’impulsivité, de critiques agressives et de troubles de l’attention qui perturbent son efficience scolaire. Ces troubles doivent être en décalage net par rapport à l’âge et au niveau de développement de l’enfant pour qu’on puisse parler d’hyperactivité. L’hyperactivité se rencontre partout dans le monde et dans toutes les classes sociales. C’est une maladie de plus en plus médiatisée mais encore mal avérée en France. pour illustrer ce propos, il existe encore très peu de centres spécialisés dans le traitement et l’accueil des enfants hyperkinétiques. On pense aujourd’hui que l’hyperactivité affecte entre 3 et 6 % des enfants d’âge scolaireavec une prépondérance chez les hommes mais les filles souffrant de TDAH sont plus difficiles à diagnostiquer. La majorité des enfants hyperactifs ( 70 % ) garderont ce syndrome à l’âge adulte.
Votre enfant est trop ' remuant '. Est-il simplement turbulent ? Ou hyperactif ? Et que sait-on au juste de ce dysfonctionnement ? Vous ne savez plus comment vous y prendre. A-t-il besoin d’un traitement ? Quels sont les dangers ? Que faut-il faire, ne pas faire ? A l’école, avec ses amis, il se sent exclu - comment l’aider à se contrôler ? A s’intégrer ? A s’épanouir ? Pour mieux comprendre votre enfant. Ce livre répond à toutes vos questions et vous donne de nombreux conseils utiles. Marie-France Le Heuzey est médecin psychiatre dans le service de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent à l’hôpital Robert-Debré ( Paris ), où elle anime une consultation sur l’hyperactivité.
En France, entre 3, 5% et 5, 6% des enfants d’âge scolaire seraient concernés par un Trouble du Déficit de l’Attention/Hyperactivité ( TDAH ). Loin de caractériser l’enfant simplement turbulent, ce trouble répond à un diagnostic posé par un professionnel tel qu’un psychiatre ou un neuropsychologue. Reste ensuite à savoir conformer son comportement de parent…Pour les offices, choisissez un endroit calme, avec le moins possible de appels extérieures, visuelles ou sonores. Lisez-lui les consignes à haute voix. Vous faciliterez ainsi leur compréhension. Et d’une manière générale, encouragez-le à demander des explications s’il n’a pas compris telle ou telle chose.
Parlez de son dysfonctionnement avec ses professeurs et impliquez-les. Cela épargnera, par exemple, à votre écolier d’être installé au fond de la tenue, ce qui renforcerait sa distraction. Inscrivez votre enfant à une leçon de sport : judo, arts martiaux, escrime... Toutes les activités qui demandent concentration et respect des règles de base sont particulièrement adaptées. D’autant plus qu’elles favorisent la socialisation : les enfants hyperactifs sont, il est vrai que souvent très isolés. Instaurez un mécanisme de récompenses afin d'accompagner votre enfant à se contrôler. Passez un contrat, éventuellement réponse écrite, avec lui en définissant les actions et les occasions à améliorer. Mais attention à ne pas lui en demander trop d’un coup !
L’instabilité psychomotrice de l’enfant est un symptôme qui prend place dans différents tableaux cliniques. Aujourd’hui, cette pathologie peut être décrite de deux manières différentes, non pas tant sur l'aspect des signes cliniques qui se retrouvent dans les deux approches, que sur le plan de la perspective nosographique qui la sous-tend. Nous procèderons, par problème de rendre compte de ces deux mouvements différents, en commençant par ce qu’il est convenu d’appeler l’hyperactivité ou hyperkinésie et les troubles déficitaires de l’attention, puis nous poursuivrons par l’abord de la perspective classique historique de l’instabilité psychomotrice. Ces troubles, en décalage net par rapport à l’âge et au niveau de développement esprit de l’enfant, sont plus importants dans les situations requérant de la solution, en tenue par exemple. Ils peuvent disparaître transitoirement dans certaines situations, par exemple en relation duelle ou dans une situation nouvelle. Inclure : les troubles de l’attention sans hyperactivité motrice proprement dite. Exclure : l’activité abusive adaptée à l’âge ( chez les petits enfants notamment ) ; l’instabilité psychomotrice reliée à une perte esprit ou à des troubles de la personnalité ; les manifestations à type d’excitation maniaque.
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