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Le terme « manga » est constitué de deux idéogrammes ( ou Kanji ) : « man », qui veut dire, d'après le contexte, l'imprécision ou la simplicité, et « ga » qui désigne l'image . On pourrait donc ficher « manga » par « croquis au tablette simple » ou squelette à la merci de la fantaisie ». On trouve aussi la traduction par « exemples modiques », qui est plus péjorative. Hokusai ( 1760-1849 ) est le 1er à avoir utilisé ce terme pour déterminer ses recueils de dessin et de esquisse. à l'heure actuelle, au soleil levant, le mot est utilisé pour désigner les bandes dessinées quelle que soit leur origine géographique.si vous êtes en pleine lecture de des mangas, vous pourriez avoir bien sûr constaté que ces derniers sont entièrement partagé non pas par genre puisque en europe ( hors du commun, science-fiction, partie , etc. ), mais par public muni d'une mention. Shonen pour les petits garçons ( le Shonen Nekketsu en limpide ), Seinen pour les plus grands ( essentiellement des hommes là encore ), Shojo pour les jeunes dames, le Kodomo pour les plus jeunes. Il existe evidemment d’autres types ( comme par exemple le yaoi, ou le hentai ), mais je préfère m’attarder sur les groupes les plus connues avec les styles les plus marqués.Le yonkoma continuera de charmer avec Mes voisins les Yamada ( 1991 ) de Hisaichi Ishii, adapté des années un autre moment au bar par la pièce Ghibli. Des émissions tv sous prétexte que Azu Manga Daioh ( 1999 ), K-On ( 2007 ) ou alors Lucky Star ( 1998 ) en sont d’autres gamin derniers. Mais dès Sazae-San, l'abc sont installées : du photo-réalisme avant tout, beaucoup d’humour et un éventaire facile. De même, les apartés en fin de gabarit que un grand nombre de mangakas utilisent pour communiquer avec les lecteurs sont, eux aussi, des yonkoma. Nul doute que la qualité de Sazae-San y est pour beaucoup : effectivement, l’anime de 1969 est systématiquement en route de distribution et compte… plus de 6 000 épisodes.Réaliser cette petite histoire comparative des bandes dessinées de différents pays a permis de voir ruisseler beaucoup de correspondance et rappelle que leur origine est municipalité. En effet, nous devons estimer qu’elle vit le jour à Genève en 1833 lorsque le suisse Rodolphe Töpffer publie l’Histoire de M. Jabot, 1er Å“uvre du style, sur une multitude de six enfin. Il faut donner une note qu’on empêcher généralement la journée de 1ere rédaction et non pas celle d'esprit. Le procédé qui a aboutit à ce qu’on peut examiner par exemple la la première bande dessinée avait vu le jour en 1827. En effet, le support manuscrit ( ou analogue ) est une des caractéristiques grandes de notre définition.Ce shônen d’aventure en un masse est graphiquement inspiré des dessins animés de Walt Disney, dont le mangaka est un enthousiaste encenseur. C’est sur ces bases que se réalise ce genre, qui perdurera inchangé ou plutôt, troublant le scénario et le cadre en s’inspirant du 7e art. Ainsi les plans cinématographiques vont être introduits et devenir des éléments indissociables du manga : les volumineux plans, les contre-plongées, les plans américains… Ces techniques du sport vont donner l'occasion de varier les angles, les encadrement et cela pour dynamiser la communion.Le courageux du manga shōnen a traditionnellement un candidat qui est sont antinomique, nous devons le baptiser d’anti-héros. Celui-ci a un comportement antagonique au courageux et au cours de tout le manga il y’aura rivalité, une compétition entre ces deux personnages. Il est heureux de souligner que les fans seront aussi en rivalité car quelques préférons le courageux, quand d’autre préférons le anti-héros. Le terme « shojo » en asiatique veut dire fille ( eh en effet ceci est l’inverse du shōnen ). Le shojo va par conséquent s’adresser aux adolescentes japonaises. Les récits abordent des thème pluraux comme l'écoute musicale, la gymnastique, l’école, la modèles avec des perturbation d’amour plus complexe que les films romantiques.
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