Source à propos de collier hip hop
Les joyaux hip-hop sont nés avec l’émergence du hip-hop en tant que puissance . Au début des années 80, des rappeurs comme Run DMC, LL Cool J et Slick Rick ont commencé à dominer les ondes locales et ont soudain gagné des fans de tous contrées. Avec les fans sont venues les compromis de disques, et avec les transactions de disques est parvenu l’argent, beaucoup d’argent. Comme une multitude d' rappeurs sont issus de milieux modestes, l’achat de bijoux hip hop était comme l’obtention d’un symbole de succès. es bijoux ont toujours été un effigie de statut social, mais pour les rappeurs, les bijoux de base ne suffisaient pas. Parce que les bijoux hip-hop signifiaient tellement qu’ils rappelaient le chemin silloné, ils avaient envie de que tout le monde le sache.
Le terme « bling-bling » est issu du jargon hip-hop et désigne les bijoux et l’accoutrement de certains rappeurs, mais aussi le design ostentatoire et abominable de leur style de vie. Selon The Urban Dictionary, ce terme provient du jargon jamaïcain se référant à l’onomatopée des bandes reproduites. L’expression a été popularisée avec le succès de la chanson Bling Bling, un tube de 1999 de BG, un rappeur de La Nouvelle-Orléans, membre des Cash Money Millionaires. Le style « bling-bling » était très commun au début du rap, jusqu’à la fin des années 1980 où il a quasiment disparu pour laisser place à un effet plus simple dans les années 1990.
Pour les représentants du rap et du hip hop, la manière parfaite de montrer les résultats de leur travail, ainsi que de définir leur statut, a été sans aucun doute par l’utilisation d’accroche-regards et évidemment de gros bijoux, pour eux les pièces les plus brillantes qu’ils exposent, le mieux, au fil des années, cela allait devenir une caractéristique unique, ces bijoux sont devenus un début importante de ce qui allait devenir un groupe listé de personnes suivi par beaucoup. Parmi les joyaux des rappeurs se détachent de larges et longues chaînes qui ont tendance à utiliser en grande quantité, générant un trafic de regards directs à leur cou, ceux-ci tutorés d’énormes pendentifs de différentes formes, dans l'idée de transmettre un message écrit en or et en argent, orné de petites pierres précieuses et comme broche finale l’utilisation distinctive des grandes bagues.
Cette matière noble de la bijouterie de luxe, de nature malléable et souple, dont seule l’amoureuse fusion d’alliage lui donne robustesse et éclat, prend forme et vie dans les mains expertes d’aventureux maîtres d’orfèvres, pour notre plus grand bonheur, je parle bien évidemment des joyaux en argent massif ! Si ma préférence va à l’or, je ne boude pas pour autant quelques tours ( d’oreilles, de cou, de phalanges, de chevilles ) en « Argent 925 ». Ce métal passe-partout, plus accessible ( pour le moment ), sait apprivoiser n’importe quelle silhouette et cela en toute circonstance.
ncarnation par excellence du rap states engagé dès le milieu des années 1990, avec son tout aussi historique Illmatic, Nas fait partie de ces professionnels Noirs américains qui se sont questionnés sur leurs racines ancestrales et tournés vers l’esthétique de l’Égypte antique, berceau de la civilisation africaine, pour certifier leur identité plurielle. Tandis que le rappeur Nelly arbore un buste miniature de Nefertiti, le parolier du Queens a opté pour un pendentif représentant le masque funéraire de Toutânkhamon, pharaon dont la sépulture, trouvée au début du XXe siècle, renfermait un des plus fabuleux trésors de cette période de l’Histoire.
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